28 septembre 2016
le rapport de Brodeck
Contrairement à mon habitude je n’ai pas lu ce livre d’un seul trait. La pagination (375 pages) s’y prêtait mais pas mon esprit. J’ai pris le temps de le disséquer, de le décortiquer de savourer l’écriture. Une belle écriture à l’encre noire. Une noirceur...