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livres et dessins
20 août 2017

après la guerre

 

 

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L'HISTOIRE :Bordeaux dans les années cinquante. Une ville qui porte encore les stigmates de la Seconde Guerre mondiale et où rôde la silhouette effrayante du commissaire Darlac, un flic pourri qui a fait son beurre pendant l'Occupation et n'a pas hésité à collaborer avec les nazis. Pourtant, déjà, un nouveau conflit qui ne dit pas son nom a commencé ; de jeunes appelés partent pour l'Algérie. Daniel sait que c'est le sort qui l'attend. Il a perdu ses parents dans les camps et, recueilli par un couple, il devient apprenti mécanicien. Un jour, un inconnu vient faire réparer sa moto au garage où il travaille. L'homme n'est pas à Bordeaux par hasard. Sa présence va déclencher une onde de choc mortelle dans toute la ville, tandis qu'en Algérie d'autres crimes sont commis...

 

 

 

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L' AUTEUR : Né à Bordeaux le 13 novembre 1955 Hervé Le Corre un de nos meilleurs auteurs de polars est découvert sur le tard. Son écriture, le choix de ses personnages, l'atmosphère assez sombre de ses livres le place d'entrée parmi les auteurs français les plus noirs et les plus primés du roman policier hexagonal.Il reçoit le grand prix de littérature policière en 2009, le Prix Mystère de la Critique 2010 pour "Les Cœurs déchiquetés" et les prix Le Point du Polar européen 2014, Prix Landerneau polar 2014 et Prix Michel-Lebrun 2014 pour "Après la guerre".

 

 

 

 

POUR EN SAVOIR PLUS SUR LE LIVRE: : 

https://www.amazon.fr/Apr%C3%A8s-guerre-Herv%C…/…/2743631554

 

LES CRITIQUES PRESSE

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Telerama du 02 avril 2014
Composé en virtuose, son roman joue de deux registres de langue, l'argot savoureux des bistrots et des mauvais garçons, qui rappelle Albert Simonin, et une prose limpide, sèche et sensible, qui vous transperce d'émotion. Superbe.
LIRE LA CRITIQUE SUR LE SITE : TELERAMA

L'express du 27 mars 2014
Le monde défait les hommes, mais les hommes font le monde. Un paradoxe aux allures métaphysiques que Le Corre ancre dans le quotidien de chacun. C'est banal. C'est extraordinaire.
LIRE LA CRITIQUE SUR LE SITE : LEXPRESS

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